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26 septembre 2004

José López Rega

 

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Le tristement célèbre Fondateur de l’Alliance Anticommuniste, l’AAA, "- Lopez Rega Alias " el Brujo " (le sorcier), surnommé, pour son "goût" pour les arts occultes et la manipulation de personnes influençables.

José López Rega est né le 17 octobre 1916 et décédé le 9 juin 1989 dans la ville de Buenos Aires.
Policier à la retraite et bras droit de Juan Domingo Perón, López Rega a agi comme Secrétaire Privé du chef péroniste pendant son dernier exil en Espagne. López Rega est retourné en Argentine avec Perón en 1973. Quand Perón a été à nouveau choisi Président (1973), son fidèle secrétaire a été désigné Ministre du Bien-être Social et Comisionado de la Police. Ces postes lui accordaient un pouvoir très vaste. López Rega a manigancé la nomination de la troisième conjointe de Perón, Isabel, à la Vice-présidence, et, quand elle est arrivée à la présidence en 1974 après le décès de son mari, il a obtenu davantage de pouvoir, y compris la coordination de tous les Secrétariats sous le cadre de la présidence. En septembre 1974, López Rega a défini le Cabinet qui serait composé de ses principaux alliés et a développé un système fiscal conservateur très peu populaire.

Au printemps 1975, l’inflation a augmenté parce que son protégé, le Ministre d’Économie Celestino Rodrigo, avait évalué le peso de 50 pour cent, perdant le contrôle des prix. Sous l’attaque constante de la gauche péroniste, qui le dénonçait comme fasciste et contre révolutionnaire, López Rega a été accusé par le Congrès Péroniste de juillet 1975 d’avoir été l’instigateur de l’Alliance Anticommuniste Argentine (aussi connue comme la Triple A), un des premiers escadrons de la mort qui s’est créé en Argentine durant les années 70. Le 11 juillet, il démissionna et partit dans la précipitation en Espagne après avoir été désigné Ambassadeur extraordinaire par Isabel Perón.

Après que la Présidente fut renversée par les militaires, López Rega a passé dix ans à fuir la justice. En 1986, il a été arrêté aux Etats-Unis et extradé en Argentine, où entre-temps il est mort en attendant son jugement.

Source : Historia del País Site en espagnol.

Voir bibliographie : "López Rega : La biografía", de Marcelo Larraquy

Traduction Pour el Correo : Estelle et Carlos Debiasi

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