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25 janvier 2003

Bulletin électronique Amérique Latine, numéro 4 - Janvier 2003

 

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Bonjour,

La Délégation Régionale de Coopération pour le Cône Sud et le Brésil et l’Agence pour la Diffusion de l’Information Technologique (ADIT) sont heureux de vous adresser la nouvelle édition du Bulletin Electronique
d’Amérique Latin, lettre électronique mensuelle d’information sur la recherche scientifique et technologique en Amérique Latine.

Bonne lecture !

Responsables de la publication :
Jean-Claude Reith, Conseiller Régional de Coopération
Alberto Cabezas, Directeur du Département de l’information (CONICYT)

Responsable de la diffusion :
François Moille, ADIT

SOMMAIRE :

TECHNOLOGIE

 Création d’un centre de microscopie avancée

AGRONOMIE ET ELEVAGE

 A la recherche d’un nouveau remède
 Merluche, le nouveau saumon chilien
 Les guêpes pour combattre la mouche du fruit

TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION

 Le retour de Clementina

POLITIQUE SCIENTIFIQUE

 Construction de la première base scientifique sur le Campo de Hielo
 Nouvelles orientations en Uruguay
 Moins de fonds en Argentine

ENVIRONNEMENT

 Accord de protection de l’Antarctique
 Invasion de moules dans le Paraná

SCIENCES DE LA VIE

 Un nouvel oiseau chauve et a la tête orange

SISMOLOGIE / VOLCANOLOGIE

 Création d’un simulateur de tsunamis
 La contraction des Andes

Technologie

- Création d’un centre de microscopie avancée
Source :
La Nación, Argentine, du 18 octobre 2002.

La Faculté des Sciences Exactes de l’Université de Buenos Aires a inaugure
un Centre de Microscopie Avancée, unique en Amérique Latine. Le centre est
dirige par le docteur Lía Pietrasanta, les co-responsables du projet étant
Ernesto Calvo, Daniel Tomsik et Elizabeth Jares.
L’essor des nanotechnologies et de la biologie moléculaire a donc incite
ces chercheurs a créer le centre, avec l’aide de la communauté
scientifique internationale : le laboratoire a reçu différents microscopes
de l’Institut Max Planck de Biophysique en Allemagne, ou même du Texas.
Le centre n’est pas seulement un centre de recherche, mais aussi de
développement : les spécialistes apportent des modifications aux
différents instruments afin de les adapter aux spécificités de chaque
domaine de recherche.
Situe dans la Cite Universitaire, le laboratoire accueille de nombreux
étudiants et thesards européens.

Agronomie et élevage

- A la recherche d’un nouveau remède
Source :
El Mercurio de Valparaiso, Chili, du 3 octobre 2002.

L’utilisation des antibiotiques en aquaculture est une pratique très
courante. En plus d’être très coûteux, ces antibiotiques provoquent des
effets secondaires qui affectent la qualité des différentes espèces, et
par conséquent, leur exportation.
Ce constat a donne naissance au projet Immuno Aqua, entierement finance
par la communauté européenne (2 M EUR) et impliquant la France, la
Belgique, la Thaïlande, la Chine, le Brésil et le Chili. 15% de ce
financement est destine a Université Catholique de Valparaiso (UCV), et
plus particulièrement a ses laboratoires d’Immunologie et Génétique
Moléculaire.
L’objectif est de trouver un remède plus naturel et moins nocif, les
peptides pouvant s’avérer une bonne solution contre les bactéries. Au
Chili, les expériences sont réalises avec des larves de coquilles
Saint-Jacques et de saumons. La coordination est assurée par Sergio
Marshall.

- Merluche, le nouveau saumon chilien
Source :
La Nación et El Mercurio, Chili, du 12 octobre 2002.

La Fundación Chile vise a transformer le Chili en un des principaux
producteurs de merluche espagnole (merluccius australis). En effet, un
groupe de scientifiques de la fondation a réussi à cultiver
artificiellement ce poisson.
La merluche espagnole est très demandée sur la marche européen, en
particulier dans la péninsule ibérique, ou elle occupe une place
importante dans la gastronomie. L’offre mondiale diminue cependant, due à
la surexploitation de la ressource. La merluche vit dans des conditions
océanographiques très particulières, à 300 mètres de profondeur, ce qui
représentait un défi pour l’aquaculture.
Le directeur de la Fundación Chile, Eduardo Bitrán, espère mettre en route
l’année prochaine le premier centre de culture dont la production sera
destinée à l’Europe. Selon ses estimations, ils atteindront 50.000 tonnes
en 8 ans et 250.000 d’ici dix ans. Le prix moyen de la merluche étant de
US$2,5/kg sur le marche international, cela pourrait représenter US$ 700
millions.
Le projet représente un investissement de US$ 2 millions, finance par la
Commission Nationale de la Recherche en Sciences et Technologie (CONICYT),
la Fundación Chile et des capitaux prives.

- Les guêpes pour combattre la mouche du fruit
Source :
Ciencia Hoje on-line, Brésil, du 1er novembre 2002.

D’après Embrapa Mandioca e Fruticultura, une unité de l’Entreprise
Brésilienne de Recherche en Agro-Elevage - Embrapa, l’espèce de guêpe
Diachasmimorfa longicaudata est efficace pour combattre la mouche du fruit
(Ceratis capitata) qui ravage les cultures fruitieres.
La femelle D. Longicaudata pond ses oeufs dans les larves de la mouche du
fruit. Les larves, en se nourrissant des nutriments qu’elles y trouvent,
sont des parasiticides. Des études de terrain montrent que ce processus
peut réduire la population des mouches de 60%. Cette méthode est couplée
a celle qui utilise des males stériles C. capitata qui éliminent les
insectes en 3 générations.
Une utilisation moindre des pesticides a des effets positifs du point de
vue alimentaire, commercial et environnemental. Mais pour que cette
technique puisse être utilisée au Brésil, il faut pouvoir commercialiser
ces espèces et les produire, ce que souhaite le Ministère de
l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Approvisionnement. Par conséquent, D.
Longicaudata doit être enregistrée officiellement, devenant ainsi le
premier insecte utilise comme pesticide.
Les chercheurs prévoient d’installer une bio-usine à Juazeiro (Etat de
Bahia), un des principaux centres de culture fruitière dans 2 ou 3 ans.

Technologies de l’information

- Le retour de Clementina
Source :
La Nación, Argentine, du 17 octobre 2002.

Le Secrétariat à la Science, à la Technologie et à l’innovation productive
(SECYT) du Ministère de l’Education argentin vient de récupérer le
contrôle du supercalculateur Clementina II, suite a un accord passe avec
l’ex-détenteur, le Secrétariat a la Communication.
Clementina II est un supercalculateur unique dans le pays, qui, mis a
disposition des universités, organismes et centres de recherche, fournira
un outil puissant de calcul : il permet de réaliser des modèles de
simulation et des calculs complexes utilises dans les problèmes
scientifiques, industriels, environnementaux et sociaux.
Le potentiel de la machine ouvre ainsi des possibilités de recherche en
météorologie, biologie, mathématiques, statistiques, algèbre calculatoire,
physique des fluides, astronomie, dynamique des étoiles, mécanique céleste

Plus d’informations :
http://www.secyt.gov.ar/noti_clementina2.htm

Politique scientifique

- Construction de la première base scientifique sur le Campo de Hielo
Source :
La Tercera, Chili, du 18 octobre 2002.

Un des projets du "Plan bicentenaire" vise à promouvoir la recherche dans
le secteur limitrophe entre la région d’Aysen et la région de Magellan,
sur la partie Nord du glacier Campo de Hielo Sur (13.500 km", le plus
grand glacier Amérique du Sud). Ce projet est dirige par Horacio Toro,
fondateur de l’Institut Chilien du Campo de Hielo Sur. Un refuge permanent
a donc été construit, et accueillera les équipes de chercheurs. Ce refuge
a été construit aux coordonnées 49° 9’ 22" de latitude sud et 73° 8’ 48"
de longitude ouest par l’architecte Emilio Armstrong et une équipe
multidisciplinaire d’ingénieurs, d’andinistes et un médecin.
L’idée du projet est née il y a 3 ans d’un groupe d’expéditions. Appuyé
par le gouvernement chilien et finance directement par la Présidence et
quelques entreprises, l’initiative a reçu 30 millions de pesos du
Président Lagos en 2001, 56 millions en 2002, et 18 millions de
financement prive.
Deux autres refuges sont prévus, un a Puerto Eden et un a la Caleta
Tolten.
Plus d’informations :
http://www.camposdehielo.cl/segundo_comunicado_oficial.htm

- Nouvelles orientations en Uruguay
Source :
El País, Uruguay, du 20 octobre 2002.

Dans un pays victime de la crise économique et ou l’assignation des
ressources à la recherche n’est pas une priorité, la communauté
scientifique uruguayenne est divisée. La recherche en sciences
fondamentales est de plus en plus délaisse, au profit du développement
technologique pour améliorer la compétitivité et la production des
entreprises.
La nouvelle stratégie vise en effet à améliorer la compétitivité
productive du pays, a travers un accord avec la Banque Interaméricaine du
Développement (Avancée), et à financer des projets de recherche dans des
domaines définis par le gouvernement, l’industrie et non plus par l’offre
des chercheurs.
Les chercheurs quant à eux sont divisés, notamment sur l’abandon des
sciences fondamentales. Le Programme de Développement des Sciences
Basiques (Pedeciba) pense recevoir 37% de fonds en moins.

- Moins de fonds en Argentine
Source :
La Nación, Argentine, du 4 Octobre 2002.

Le Conseil de la Recherche scientifique et technique (CONICET) fait
connaître le montant du budget juge nécessaire au bon fonctionnement de
l’organisme durant année 2003. Il sollicite 435 millions de pesos
argentins (125 M EUROS environ).
Cette estimation vise à assurer le développement de technologies au
service des PME, la promotion et l’exécution des activités scientifiques
et technologiques de haute qualité ainsi que le formation de ressources
humaines d’excellence.
Le Congres National doit quant à lui approuver le budget CONICET auquel on
a effectivement attribue 235 millions de pesos, soit 0,15% du budget
national. Cette année, il s’élevait a 0,24%.

Environnement

- Accord de protection de l’Antarctique
Source :
El Mercurio, Chili, du 11 et 13 octobre 2002.

La Commission Nationale de l’Environnement chilienne (CONAMA) et Vivendi
Environnement préparent un accord de collaboration sur la protection et la
gestion environnementale du territoire antarctique. Les résultats de cette
analyse permettront l’amélioration de la stratégie de contrôle de la
pollution et de la prévention des dommages environnementaux.
Le défi selon Gianni López, directeur de la CONAMA, est de privilégier le
tourisme et la science, tout en améliorent et protégeant l’écosystème du
blanc continent : 20.000 visiteurs sont prévus entre 2003 et 2004, qui,
ajoutes aux toujours plus nombreux scientifiques, engendreront des
déchets. Vivendi Environnement confirme a travers cet accord avec le
gouvernement chilien son intention de participer au développement durable
 : l’entreprise met a disposition toutes ses ressources en recherche et
production dans le domaine des eaux, des déchets et des transports.
L’idée est d’établir une plate-forme internationale afin de partager
connaissances et ressources. Un programme de ce type a déjà été signe avec
l’Australie en 2001.

- Invasion de moules dans le Paraná
Source :
La Nación, Argentine, du 22 octobre 2002.

Le mollusque asiatique limnoperna fortunei, apporte accidentellement en
1991 par une embarcation, engendre des pertes énormes pour les centrales
atomiques et les autres installations du Paraná et du Río de la Plata.
Ce mollusque, sans prédateurs naturels, a envahi tout le delta en 10 ans,
jusqu’au Paraguay et au Sud du Brésil après les chercheurs du
Département Ecologie, Génétique et Evolution de la Faculté des Sciences
Exactes et Naturelles de Université de Coopération Aires (UBA), il y avait en
1991 environ 3 individus par mètres carres. Aujourd’hui, leur nombre
s’élèverait à 120.000 exemplaires par mètre carre. S’installant sur toute
surface dure, comme les canalisations des usines, cette moule chinoise,
qui consomme beaucoup de plancton, est en concurrence avec les espèces
autochtones.
Les scientifiques argentins cherchent un moyen de contrôler le mollusque
de manière écologique et testent toutes les possibilités : projection de
sable ou d’eau a haute pression, filtres fixes et mobiles, manipulation de
la température de l’eau, utilisation de champs électriques, ultrasons,
peintures spéciales, substances toxiques.

Biologie

- Un nouvel oiseau chauve et à la tête orange
Source : Ciencia Hoje on-line, Brésil, du 13 novembre 2002.

En septembre 1999, trois ornithologues brésiliens ont découvert dans la
foret amazonienne de la région de l’Alto Tapajós (sud-est du Pará) un
étrange perroquet. Ce perroquet, chauve, a la tête orange, mesurant 25 cm
environ et pesant 160 grammes, était en fait d’une nouvelle espèce
L’oiseau en question avait déjà été capture en 1950 par l’ornithologue
allemand Helmut Sick, qui pensait qu’il s’agissait d’un exemplaire
sexuellement immature d’une espèce déjà connue, mais a tête noire
(pionopsita vulturina). Les chercheurs ont donc suppose que si l’animal
était adulte, il s’agirait effectivement d’une nouvelle espèce Ils ont
vérifie l’hypothèse en analysant le degré d’ossification du crâne et les
gonades de l’oiseau. Ils ont en outre observe que les jeunes pionopsita
vulturina ont la tête noire couverte de plumes, qu’ils perdent a l’age
adulte.

Sismologie / volcanologie

- Création d’un simulateur de tsunamis
Source :
El Mercurio, Chili, du 22 octobre 2002.

Apres 15 années de recherche et diverses expérimentations, des chercheurs
du Centre de Catastrophes de Université d’Antofagasta ont crée un
système informatique de simulation de tsunamis, appelle "système de gestion
automatique d’urgence de tsunami". Le système prend en compte l’épicentre
des séismes marins, la magnitude et l’heure.
Le mouvement tellurique qui servit de modèle au système d’alerte fut le
séisme du 23 juillet 2001 au Sud du Pérou : la première série de vagues,
atteignit Arica en 6 minutes, Iquique en 19, Antofagasta en 46, les
Etats-Unis en 8 heures et l’Australie en 18 heures. Mais c’est la deuxième
série, qui arrive 30 minutes après, qui est la plus destructrice. La
vitesse du tsunami est proportionnelle a la profondite de l’océan et a la
force de la gravite : dans une masse d’eau a 4.500 m de profondeur, les
ondes voyageraient a 725 km/h ; en s’approchant de la cote, a 100 m de
profondeur, elles pourraient atteindre 80 km/h.
Au Chili, la majorité des séismes provient de l’interaction (subduction)
entre la Plaque de Nazca sous le Pacifique et la Plaque Continentale
Américaine. Si la plateforme maritime réduit le phénomène, elle n’empêche
pas certains tsunamis catastrophique de se former (eg : 2.000 morts a
Valdivia en 1960). Les municipalités chiliennes et péruviennes sont par
conséquent intéresses pour incorporer le système dans leur programme de
sécurité.

- La contraction des Andes
Source : La Nación, Argentine, du 15 Octobre 2002 et Las Ultimas Noticias, Chili, du 16 octobre 2002.

La cordillère des Andes, loin de séparer le Chili et l’Argentine, les
rapproche : c’est ce que souligne le géologue Victor Ramos, directeur du
laboratoire de tectonique andine de la Faculté des Sciences Exactes et
Naturelles de Université de Coopération Aires (UBA). après leurs mesures
effectuées avec des appareils hautement précis, comme les GPS, la cote
chilienne s’approche chaque année de 19 mm de la ville transandine de
Mendoza.
La plaque de Nazca, en s’enfoncant sous la plaque sud-américaine, provoque
la compression des Andes et est source d’importantes frictions. Une fois
atteint un certain niveau de tensions, l’énergie se libère sous forme de
séismes. La déformation a une composante élastique et une autre en
revanche permanente, permettant l’élévation des montagnes.
Des modèles mathématiques, géophysiques et géologiques montrent que la
vitesse moyenne de rapprochement a ces latitudes est de 4 a 5 mm/an sur les
20 derniers millions d’années. Il est tout a fait probable qu’un
tremblement de terre réduisent ultérieurement les 19 mm perdus a
"seulement" 4 mm. Sinon, dans 10.000 ans, Mendoza se retrouvera a une
altitude de 2.500 mètres

Ont élabore ce BE :
Responsables de la publication :
Jean-Claude Reith, Conseiller Régional de Coopération
Alberto Cabezas, Directeur du Département de l’information (CONICYT)
Sélection, validation et rédaction des articles :
Dorothée Dany, Volontaire Internationale, responsable de l’information technologique a la Délégation.
A participe a ce bulletin :
Joachim Queyras, Volontaire International, responsable de l’information technologique au CenDoTeC.


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